Elle regarda une dernière fois l'image que lui renvoyait le miroir pour se convaincre encore une fois qu'elle était sexy sans être trop provocante. Sexy élégante comme elle aimait être mais surtout tel était le désir de son Maitre cette fois-ci.
Elle avait choisi avec soin un ensemble veste et mini jupe en cuir qui épousait bien les courbes de son corps. La veste cintrée mettait en valeur sa poitrine nue dont on devinait à travers la matière la pointe des tétons. La jupe quant à elle, était suffisamment courte pour attirer le regard.
Elle avait reçu comme consigne de rejoindre son Maitre à son appartement sans autre précision de sa part, ainsi ne savait elle pas quels étaient ses projets. Cependant c'est confiante qu'elle enfila son manteau et partie le rejoindre.
Tout au long du trajet ses pensées allèrent vers son Maitre, celui qui la possédait et dont elle était la Chose. Elle s'était librement donné à lui et il en avait fait son esclave.
Au yeux des autres cela pouvait être une folie mais pour elle c'était sa raison d'exister. Elle aimait se sentir possédée et appartenante. Elle aimait à la fois la douceur mais aussi la sévérité de son Maitre. Elle aimait se soumettre à ses désirs. Elle aimait ne plus avoir à décider et à se remettre à lui. Elle était sa Chose et cela suffisait à son bonheur.
Elle était enfin arrivée à destination. Juste avant elle avait reçu un message de son Maitre lui disant de monter et de se mettre en position d'attente.
Elle retira donc son manteau légèrement décontenancée de ne pas le trouver là, mais ne se posa trop de questions. Elle fit comme il lui demanda et attendit son retour. Elle s'installa donc sur un coussin, face à la porte comme il lui avait appris à le faire, assise sur les genoux, mains ouvertes posées sur les cuisses écartées. D'habitude elle se tenait ainsi totalement nue mais aujourd'hui elle n'en avait pas reçu l'ordre. Sa jupe par conséquent remonta très haut sur ses cuisses, laissant voir sa chatte entièrement lisse dotée d'un lourd anneau maintenant ses grosses lèvres fermées. Elle en était fière car c'était une des marques de son esclavage.
Elle n'avait pas besoin de miroir pour imaginer l'image qu'elle renvoyait à ce moment là. Elle voyait une femme dans toute sa beauté d'esclave, le crâne tondu portant un collier, des bracelets aux poignets et aux chevilles. La veste qui était maintenant déboutonnée, révélait ses seins dont les tétons pointaient,ne demandant qu'à être torturés.
À mesure que les minutes passaient, elle sentait l'excitation montée et n'avait qu'une hâte, celle de voir son Maitre passé la porte et la découvrir ainsi offerte.