C'est cela que tu imaginais en me parlant de ton attirance pour l'électricité comme douce torture ?

Oui, Maitre... c 'est une expérience que j'aimerai vivre

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J'ai trouvé cette photo très belle.

Elle exprime pour moi une certaine idée de l'abandon de soit

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C'est ainsi que j'imagine ton devenir

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Tous mes trous sont à toi.

Alors quelque soit ce que tu veux, je me sentirai toujours possédée.

Après un long hivernage Maitre m'a reprise .... dans tous les sens du terme.

Maitre me veut toujours .... toujours plus esclave.

Je pensais que cette fois-ci cela en était fini de Nous, mais non. 

Je sais que désormais nous irons loin

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C'est toujours avec le même plaisir, et peut être encore plus aujourd'hui que je tourne les pages de mon "book" d'esclave.Je relis mes règles de vie, ma déclaration, le texte qui retrace mon parcours, les récits, regarde les différentes photos que tu as prise de moi. Tout cela me fait prendre conscience du chemin parcouru et l'envie qui reste forte et intacte d'être encore et toujours ton esclave.

Mon émotion est aussi forte quand je vois cette photo prise dans le photomaton (même si elle me fait sourire) car ce que j'ai pris comme un jeu à cette époque a pris la forme d'un profond engagement, et j'en suis fière.

Elle regarda une dernière fois l'image que lui renvoyait le miroir pour se convaincre encore une fois qu'elle était sexy sans être trop provocante. Sexy élégante comme elle aimait être mais surtout tel était le désir de son Maitre cette fois-ci.
Elle avait choisi avec soin un ensemble veste et mini jupe en cuir qui épousait bien les courbes de son corps. La veste cintrée mettait en valeur sa poitrine nue dont on devinait à travers la matière la pointe des tétons. La jupe quant à elle, était suffisamment courte pour attirer le regard.
Elle avait reçu comme consigne de rejoindre son Maitre à son appartement sans autre précision de sa part, ainsi ne savait elle pas quels étaient ses projets. Cependant c'est confiante qu'elle enfila son manteau et partie le rejoindre.
Tout au long du trajet ses pensées allèrent vers son Maitre, celui qui la possédait et dont elle était la Chose. Elle s'était librement donné à lui et il en avait fait son esclave.
Au yeux des autres cela pouvait être une folie mais pour elle c'était sa raison d'exister. Elle aimait se sentir possédée et appartenante. Elle aimait à la fois la douceur mais aussi la sévérité de son Maitre. Elle aimait se soumettre à ses désirs. Elle aimait ne plus avoir à décider et à se remettre à lui. Elle était sa Chose et cela suffisait à son bonheur.
Elle était enfin arrivée à destination. Juste avant elle avait reçu un message de son Maitre lui disant de monter et de se mettre en position d'attente.
Elle retira donc son manteau légèrement décontenancée de ne pas le trouver là, mais ne se posa trop de questions. Elle fit comme il lui demanda et attendit son retour. Elle s'installa donc sur un coussin, face à la porte comme il lui avait appris à le faire, assise sur les genoux, mains ouvertes posées sur les cuisses écartées. D'habitude elle se tenait ainsi totalement nue mais aujourd'hui elle n'en avait pas reçu l'ordre. Sa jupe par conséquent remonta très haut sur ses cuisses, laissant voir sa chatte entièrement lisse dotée d'un lourd anneau maintenant ses grosses lèvres fermées. Elle en était fière car c'était une des marques de son esclavage.
Elle n'avait pas besoin de miroir pour imaginer l'image qu'elle renvoyait à ce moment là. Elle voyait une femme dans toute sa beauté d'esclave, le crâne tondu portant un collier, des bracelets aux poignets et aux chevilles. La veste qui était maintenant déboutonnée, révélait ses seins dont les tétons pointaient,ne demandant qu'à être torturés.
À mesure que les minutes passaient, elle sentait l'excitation montée et n'avait qu'une hâte, celle de voir son Maitre passé la porte et la découvrir ainsi offerte.

Son Maitre enfin arriva après un long moment qui lui parût une éternité vu son impatience.
Apparemment il n'était pas seul car elle vit deux couples qui entraient en même temps que lui. Son Maître lui donna un baiser sur le crâne et la présenta à ses convives.
"Voilà ma Chose" leur dit-il tout en la mettant debout pour qu'elle puisse être mieux vu des autres. Ils purent ainsi l'admirer et complimenter son Maitre d'avoir un si bel objet.
Une fois les présentations faites, tout le monde passa au salon pour ce qui allait être une agréable soirée.
Son Maitre avait prévu un apéro dînatoire et la mît à contribution. En qualité d'esclave il fût donc normal qu'elle fasse le service. Il lui ordonna alors de retirer ses vêtements et c'est donc nue qu'elle leur servit à boire et à manger. 
Lorsqu'elle termina, elle attendit que son Maitre lui donne l'ordre de s'asseoir à ses pieds.
La conversation tourna autour d'elle car son Maitre tenait beaucoup à expliquer la manière dont il la dressait. Elle était surtout attentive quant à elle à ce que personne ne manque de rien en attendant que son Maitre daigne lui donner une bouchée par ci par la.
La soirée suivît son cours jusqu'au moment où son Maitre décida de l'exhiber d'avantage. Il fit de la place en poussant la table basse sur laquelle ils avaient mangé.
Elle se retrouva au milieu d'eux. Un peu timide au début elle laissa très vite tomber toute pudeur pour mieux se dévoiler. Elle écarta d'avantage les cuisses offrant aux regards un sexe déjà luisant de mouille d'excitation. Elle savait ce que voulait son Maitre, elle connaissait son désir de la voir salope si bien qu'elle n'attendit pas trop pour caresser son clitoris déjà gonflé de désir. Elle continua longuement à se caresser n'hésitant pas à se mettre deux ou trois dans la chatte pour bien couler. Elle leur offrait là le spectacle d'une salope prête à être baiser comme disait si bien son Maitre.
C'est à ce moment que les deux autres femmes décidèrent de la rejoindre. L'une commença par l'embrasser sur la bouche cherchant avidement sa langue tandis que l'autre s'occupait de lui mordiller les tétons . Elle s'abandonnait aux caresses de ces femmes car c'était ce que voulait son Maitre. Elle leur offrait son corps qu'elles prenaient avec volupté lui suçant la chatte, lui fourrant la langue ou les doigts au plus profond d'elle déclenchant alors une vague de jouissance qu'elle ne put contrôler.
C'est alors qu'elle réalisa et croissant le regard sévère de son Maitre, qu'elle avait oublié une règle essentielle de son dressage.
Peu après les invités partirent les laissant enfin seuls.

 
Son Maître ne lui adressant pas la parole, elle profita donc pour ranger un peu. Puis elle l'entendit l'appeler dans la chambre. Elle le rejoignit et elle compris qu'il était sur le point de la punir pour avoir jouit auparavant sans lui avoir demandé la permission.
Elle n'essaya même pas de demander grâce car elle savait que cette punition était juste. Elle se mît en position à quatre pattes, et attendit les premiers coups de ceinture. 
Elle sentit le cuir lui lacérer la peau du dos, des fesses. A chaque coup porté, elle se demandait si elle allait pouvoir supporter la douleur, mais paradoxalement elle voulait qu'il continue à la frapper car pour elle c'était une manière d'être sienne. Puis il la retourna sur le dos et la marqua de plus belle. Aucune partie de son corps n'était épargnée, il continua à lui cingler les seins, le ventre, les cuisses qu'elle dut écarter pour bien exposer son sexe à la chaleur du cuir. 
Lorsqu'enfin il s'arrêta, elle eut à peine le temps de se remettre de ses émotions que déjà, il lui forçait la bouche. Elle sentit sa queue énorme lui cogner le fond de la gorge jusqu'à l'étouffement. Elle subit les assauts de cette queue dans sa bouche incapable de bouger, jusqu'à ce que son Maitre se déchargea longuement dans sa gorge dans un puissant cri de plaisir. 

Désormais etre marquée fait partie de mes choix et de ma condition

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