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  • La nuit dernière après la séance de coups de cravache tu ne m'as pas permis de partager ton lit. Tu m'as  couché et refermé la porte de mon cachot non sans m'avoir enchaîné et laissé les godes en place pour la nuit.

    Tu profites de ta visite matinale pour me prévenir que tu seras absent une grande partie de la journée sans me donner plus de détails sur ta sortie. Mais avant cela tu retires les godes qui sont en moi depuis la veille et tu vérifies l'état de mon excitation.Tu passes tes doigts le long de mon sexe et les remontes aussitôt à ma bouche en me disant de les lécher car ils sont mouillés.

    Durant ton absence tu désires malgré tout à ce que je maintienne mon excitation  tu me laisses donc quelques godes de différentes grosseurs en me disant d'en faire bon usage et ô miracle tu m'autorises à me faire jouir si l'envie devient trop forte. Mais à la seule condition qu'à ton retour je te dise comment j'ai fais.

    Après ton départ la maison devient très silencieuse et je profite de ce silence pour t'écrire quelques mots et de dire ce que je ressens de vivre enfermée.

    D'abord je te dis que je suis heureuse de ma condition d'esclave et que grâce à toi je vis une expérience extraordinaire qui me permet de me dépasser. Que je vis à dans cet enfermement un moment fort et intense mais que j'aimerai pouvoir dépasser toutes mes peurs pour aller jusqu'au bout. Je sais que si j'y arrive, je pourrai affronter toutes les situations sans appréhension. Subir les pires humiliations, être torturée, être utilisée, être exhibée seront alors source de bonheur car je deviendrai une esclave accomplie dont mon Maître sera fier.

    Je laisse mon esprit vagabonder et m'imagine en chienne docile, en esclave, en objet sexuel jusqu'à perdre toute forme de pudeur. Mais malgré mes rêveries je trouve le temps un peu long et décide de m'occuper avec les godes que tu m'as laissés. J'entreprends d'introduire un dans mon vagin et commence à me masturber le clitoris en même que je me l'enfonce profondément. Je joue encore à me donner du plaisir par le sexe mais je suis assez  vite prise par le désir de plus de sensation. Je choisis le gode le plus gros et me pénètre par l'arrière. J'aime me sentir envahie de la sorte; je continue de ma caresser et rapidement je m'entends crier de plaisir.

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  • A ton retour, c'était l'heure du déjeuner tu me fais sortir pour manger. En bonne esclave que je suis, j' attend que tu ais fini  pour manger à mon tour. 

    Pendant ce temps je te raconte ma matinée, te donne tous les détails sur la façon dont je me suis faite jouir et te redis le bonheur et l'équilibre que m'apporte ma condition d'esclave. Je vois dans ton regard toute la fierté qu'un Maître peut avoir pour son esclave quand celle-ci se comporte comme il le souhaite et sens que tu m'exhortes à continuer.

    Pour le reste de l'après-midi tu décides de ne pas m'enfermer mais je ne suis pas libre pour autant car tu m'enchaînes au pied d'un meuble. Je reste là, docile, attendant que tu sollicites ma bouche ou une autre partie de mon corps.

    Tu as projeté de m'emmener quelque part en début de soirée. Tu commences à me préparer en procédant à un lavement profond. Je m'abandonne totalement à toi; mon corps me m'appartiens plus. Tu m'enfonces un plug dans le cul pour que je me sente constamment prise. Je suis totalement nue parée de mon collier au cou, de mes bracelets aux chevilles et aux poignets et d'une fine chaîne reliant mes anneaux de tétons. J'enfile juste un imper pour sortir.

    Arrivés à destination, tu me bandes les yeux  avant de faire entrer dans une maison. A l'intérieur, tu me fais descendre des escaliers et je devine que nous sommes dans une cave.

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  • Dans la pièce où nous sommes et que je pressens comme étant une cave, tu enlèves mon imper mais tu laisses le bandeau qui m'aveugle et m'oblige à deviner ce qui se passe atour de moi.

    J'entends en effet des voix d'hommes sans pouvoir  définir combien ils sont exactement. J'essaye d'imaginer ce que tu as prévu lors de cette soirée. Serais je  exhibée? Serais- je offerte? Plusieurs situations m'effleurent l'esprit mais j'ai à peine le temps d'y penser, que tu me prends par la main et tu m'installes sur une sorte de fauteuil où je suis presque allongée. Tu me laisses là non sans m'avoir rassurée en me caressant légèrement les seins. Je te fais confiance car tu as toujours été honnête sur tes intentions et d'ailleurs mon corps ne m'appartiens plus.

    Je me sens ouverte, le sexe béant, je m'imagine obscène dans cette position, une invitation au viol. j'entends dans ce sens les réflexions de ces hommes que j'imagine assez nombreux.

    Des mains me touchent le sexe, le seins et soudain, je sens une queue me pénétrer. Elle me force et malgré moi je laisse échapper un petit cri de surprise. J'entends les soupirs de plaisir de cet inconnu qui utilise mon sexe pour jouir. S'ensuit alors plusieurs assauts, parfois brefs, parfois plus longs mais jamais aucun ne semble se préoccuper de moi. Je suis juste un trou dans lequel ils se déversent.

    Quand tu estimes que j'ai été assez utilisée, tu me dis qu'il temps de partir mais avant tu veux me montrer les lieux  et surtout que je vois où j'étais installée et je découvre juste au dessus du siège un petit panonceau sur lequel est écrit "vide couilles à utiliser" Un peu humiliant pour moi mais tellement jubilatoire pour toi.

    A peine rentrés, tu me mets à genoux face à toi et tout en agrippant mes cheveux, tu plaques ma bouche sur ton sexe et tu me l'enfonces profondément m'étouffant presque. Lentement je te suce, je vais et je viens , je te lèche avec ma langue et fais très attention à te donner du plaisir sans te faire jouir car je veux que ce moment dure le plus longtemps possible.

    Je continue à te sucer jusqu'à ce que tu décides le moment pour toi de jouir.

    Notre soirée se termine, tu me retires le plug et tu me conduis pour une dernière nuit dans ce qui a été mon cachot pendant 3 jours. 

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  • Tu avais fais venir un petit groupe d'hommes et tu m'avais livré à eux. 

    Nue, perchée sur des talons aiguilles de 10 cm, les yeux bandés, j'étais pour quelques heures leur objet sexuel. Je ne pouvais ni parler, ni émettre un son et pour cela tu m'avais enfoncé un gode bâillon dans la bouche. Ce gode noir qui me rappelais ton sexe. Tu savais que cela allait me mettre mal à l'aise, mais là n'était pas ton problème, ni celui des autres.

    Ils ont commencé à me toucher et à me caresser très doucement, timidement au début, comme pour m'apprivoiser. Puis les mains et les doigts se sont montrés plus hardis. Je sentais que l'on me pinçait les tétons et qu'on me les tirait. Des mains inconnues parcouraient mon corps m'arrachant au passage quelques cris qui ne pouvaient pas s'échapper de ma bouche. Des doigts s'enhardissaient dans ma chatte qui était alors déjà trempée. J'entendais des mots obscènes qui qualifiaient mon attitude de "chienne"  car j'avais les cuisses bien écartées et je donnais en spectacle mon sexe envahis par des doigts ou par un sexe, car maintenant j'étais prise dans tous les sens.

    Et quand tu as estimé que j'avais été suffisamment utilisée et que j'étais au bord de la jouissance, tu as choisi un des hommes qui a pu me prendre tout en me caressant le clito et qui m'a fait jouir comme la vraie salope que je suis.

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